Article d'Actu.fr concernant le projet d'extension des remblais avec 3 millions de m3 supplémentaires
Le dilemme d’un village normand face aux déblais du Grand Paris : "Muids n’est pas un dépotoir !"
Posts les plus consultés de ce blog
Muids n’est pas un dépotoir !
Selon l'Arrêté Préfectoral de 2016 relatif au remblaiement d'anciennes carrières aux lieux dits des Carreaux, des Traversins et du Grand Champ, Muids ne devait recevoir que des terres inertes, ne présentant aucun danger pour la population et aucun risque de pollution pour l’environnement… En 2021, première alerte, découverte fortuitement : certaines terres de remblais, provenant du creusement de lignes de métro du Grand Paris Express, sont susceptibles de contenir de la Pyrite*. Interrogés sur ce problème, les carriers, qui se sont gardés d’informer préalablement la municipalité du danger que faisait courir la présence potentielle de pyrite, assurent le conseil municipal que la question est en cours de résolution en concertation avec la DREAL : de la chaux sera ajoutée pour neutraliser la réaction d'oxydation, car sans traitement il y a risque d’acidification sulfurique des terrains remblayés. Par ailleurs, les carriers assurent redoubler de vigilance pour ...
l'Age d'or de Muids et de sa plage
l' Age d'or de Muids et de sa plage ici les installations du club de voile par le peintre léonard Bordes (années 50) Les nouveaux parasols avec leur motif orange inspirèrent particulièrement le peintre Léonard Bordes (1898-1969). Dans un de ses tableaux de la Plage de Muids, il s’essaya à capturer le site dans un panoramique « eye-fish », depuis les installations du CVM à l’extrême gauche jusqu’à la nouvelle terrasse de l’Hôtel de la Plage à l’extrême droite, selon un point de vue qu’on imagine campé dans une des chambres mansardées de l’Hôtel de la Plage. Dans un autre tableau de facture plus classique, il s’intéressa plus particulièrement à la partie gauche du site occupée par le CVM avec ses deux saules pleureurs qu’il représenta dans un style Van-Goghien ainsi qu’en premier plan au mythique pavillon d’entrée de Mr Mersch, qui campait sur le site depuis 1935, été comme hiver, et fit face vaillamment à la fois aux inondations hivernales et aux occupations militaires de ...
Commentaires
Enregistrer un commentaire